Mon histoire

Mon chemin vers la philanthropie, une histoire d'amour...

"L'homme qui meurt riche meurt disgracié." — Andrew Carnegie

Chacun d'entre nous a le pouvoir d'agir, s'il le souhaite.

Mon parcours

sans diplôme

j'ai commencé ma carrière à 16 ans comme simple marin-pêcheur. Je travaillais énormément pour économiser, je m'endettais pour acquérir mon premier chalutier afin de faire des campagnes au large de l'Alaska. À la fin des années 80, j'étais à la tête d'une flotte entière au Royaume-Uni.
Patronne-pêcheuse puissante et riche, je m'intéresse au business sur terre, j'achète dans les années 90 des sociétés très variées, souvent en difficultés, les restructure et les revends avec de juteuses plus-values. Et je vois de plus en plus grand, En 1996, je fusionne mon groupe TFC avec les anciens chantiers navals Aker avant de prendre le contrôle de NAVAL KER GROUP, le leader norvégien de l'off-shore pétrolier, en quasi-faillite.
Alors que je rencontrais un joli succès dans ma carrière en naviguant à l’international, j’ai eu une double révélation liée à mon histoire personnelle : j’ai pris conscience que j’avais été élevée par de très grands philanthropes. Pas au sens où on l’entend d’habitude, car mes parents n’avaient pas d'argent. C’était un couple très modeste du Nord de la France : mon père avait repris la quincaillerie familiale et ma mère était femme au foyer. Mais quel foyer justement ! Mes parents ont adopté, au cours de leur vie, une vingtaine d’enfants des quatre coins du monde, de toutes origines, qui étaient considérés comme « inadoptables », tant ils étaient cabossés par la vie, physiquement et affectivement. Ma mère naturelle souffrant de lourds troubles psychiques, j’ai moi aussi été recueillie sous leur toit, et j’ai grandi au milieu de cette improbable tribu arc-en-ciel. Si le philanthrope est amoureux de l’humanité, alors il n’y a pas sur terre de plus grands philanthropes que mes parents. C’est sous leur regard que j’ai pris conscience que j’étais aimée, et que j’ai appris à aimer en retour.

C’est cette force d’amour, que j’avais reçue d’eux, qui m’a poussée à me lancer dans l’aventure du Projet de partage de mes biens financier "JEAN FERT" qui a pour objet de réaliser le rêve de toute personne sélectionné dans ce programme.

le « plaisir » de partager sa fortune avec ceux dans le besoin devrait « être la manière de se comporter de toute entreprise. J'ai fait assez d'argent pour moi-même. Maintenant, cela ne m'enthousiasme pas d'en faire plus ».

Je suis atteint d'un mal incurable et mes jours sont comptés,
tout est récupérable dans la vie sauf le temps, car très souvent, il manque à la fin, et c'est mon cas aujourd'hui.

«Toute ma fortune m'a été donnée par Dieu et par ma grande nation. Cette fortune, je l'offre à l'humanité, et l'humanité n'a ni religion, ni race, ni sexe»

Tout va tellement vite, que nous arrivons à la fin de notre vie sans avoir pris le temps de vivre.

Profite de chaque minute de ta vie. Soit heureux maintenant.

don@jeanfertdon.org
Liens utiles
© JEAN FERT Contact